La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1505)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1499)-

Je tenais toutes ces pinces entre mes mains et le Maître, maintenant, les plaçait sur le corps de Chloé...

Quelques semaines passèrent et ce fut déjà la rentrée. De retour à l'université, la période fut largement consacrée aux partiels de fin d'année, même si naturellement, en tant qu'esclave du jeune Marquis Edouard d'Evans, j'effectuais mes diverses tâches d'esclave domestique à Son Domicile et je me rendais aussi régulièrement chez la voisine Chloé, qui était entièrement sous l’Emprise du Maître, afin d'y effec également un certain nombre de devoirs ménagers sous le contrôle de la jeune femme qui se soumettait chaque jour un peu plus au Maître. Mais elle se dévoilait en contrepartie toujours plus inflexible lorsqu'il s'agissait de se montrer autoritaire envers un inférieur comme ma petite personne. Après plusieurs semaines d'absence, l'esclave Joëlle était également revenue à quelques reprises chez le jeune Maître. J’avais passé l'essentiel de ses visites dans la cage où j'étais remisé lorsque mes services n'étaient pas requis. Mais j'avais compris que la belle Joëlle avait été convoquée par le Châtelain afin d'initier Sa nouvelle soumise Chloé aux délices saphiques, sous Son Autorité.

En effet, tandis que l'esclave encagé que j’étais, dans tous les sens du terme, méditait sur sa condition d'esclave de maison, Monsieur le Marquis poursuivait le formatage de la charmante voisine. Il avait pour cela fait revenir Son esclave Joëlle qui avait été prêtée pour quelques semaines au vétérinaire dont elle était l'assistante en vue de ses prochains examens. Les deux femelles offraient ainsi au Maitre des moments intenses, toutes deux appliquées à satisfaire toutes Ses Exigences. Tout en Lui offrant aussi, lorsqu'Il l'ordonnait, le spectacle extrêmement excitant de deux esclaves femelles se livrant à de multiples positions lesbiennes érotico-sexuelles.

.. Mais aussi grâce à son long et très approfondi dressage, Joëlle possédait déjà une connaissance aigüe des plaisirs féminins. Esclave depuis plusieurs années malgré son jeune âge, elle avait été éduquée, formatée également à satisfaire les plaisirs les plus pervers, aussi bien pour les Mâles Dominants que pour Les Dominantes. Ainsi, sans jamais oublier sa condition de créature inférieure, étant pleinement esclave et donc un rang plus bas encore que soumise Chloé, elle initiait celle-ci aux pratiques les plus inavouables qui feraient de la jeune conseillère financière de haut-vol, la plus experte des catins serviles.

Chloé apprenait, par la pratique, bien des choses dont elle n'aurait pas cru que sa langue fut capable. Et elle découvrit combien la langue habile d'une autre, pointant dans son anus, pouvait la faire mouiller, la lubrifiant ainsi si abondamment qu'elle pouvait ensuite être profondément pénétrée par un sexe viril ou les plus volumineux objets pour des fists anaux ou vaginaux impressionnants. Chloé découvrir aussi le face-setting (s’asseoir sur le visage) et tant d'autres choses, se rendant compte qu'elle n'était pas aussi délurée qu'elle l'avait pensé auparavant et qu'elle n'était en fait qu'une oie blanche qui découvrait dans la soumission, l'humiliation, l'exploitation de son corps. Des incroyables et nouvelles sensations que nul autre que le jeune Marquis d'Evans n'avait jamais su lui apporter... Le Maître et ses deux femelles passaient ainsi des heures ensemble, tandis que moi, l'esclave dans sa cage, devait lire et relire les ouvrages concernant ses examens dont la proximité rendait nécessaires de sérieuses révisions... Parfois, le Jeune Châtelain menait ses deux femelles jusqu'à la cage, leurs exigeant à se moquer de l'esclave qui s'y trouvait confiné. Monsieur le Marquis soulignait à l'intention des deux soumises la chance qu'elles avaient de pouvoir se consacrer à Ses Plaisirs, tandis que la créature servile que j’étais au sexe encagé, se trouvait exclusivement dédiée à l'apprentissage et au service, privé de toute autre activité jusqu'à la fin de la période d'examens.
..

Et vint le jour des résultats. J'étais à la faculté, mais je ne devais pas aller vérifier les tableaux de résultats affichés devant les salles. J'avais été convoqué au bureau du Maître des études, celui chez lequel j'avais déjà dû me rendre dont je savais qu'Il faisait également partie du fameux Cercle des Supérieurs et chez Lequel j'avais vu l'esclave femelle Joëlle humiliée et utilisée. La stricte secrétaire au chignon parfaitement constitué, au tailleur gris deux pièces tout aussi strict que son visage fermé, me fit attendre dans une petite salle, en compagnie de sept autres, que je reconnus toutes et tous comme étant des esclaves dont Joëlle qui ne m'accorda même pas un regard. Nous restions silencieux, les yeux baissés, dans l'attente. Finalement la secrétaire réapparut et claqua dans ses mains. D'un seul mouvement, les huit esclaves que nous étions se levèrent, et dans une attitude de profonde humilité, nous entrâmes dans le bureau du Maître des études. La froide secrétaire nous fit installer en rang, Il y avait là quatre femelles et quatre esclaves mâles. Joëlle se tenait à une extrémité de cette file, et j'occupais l'autre bout de notre groupe. Le Maître des études entra, tenant à la main une badine flexible avec laquelle il fit fendre l’air dans des sifflements sans équivoque. Il contempla l'humble troupeau que nous composions et d'un petit coup sec de Sa badine, nous fit prendre position de façon parfaitement rectiligne. Puis, il alla s'installer derrière Son bureau… Les yeux baissés, quelque peu angoissés dans l'attente de nos résultats, nous attendions tous les huit, en silence...

- J'ai là vos résultats. Comme vous le savez, vous n'êtes pas seulement des esclaves domestiques et des objets sexuels utilisés par Nous, les Supérieurs. Les esclaves appartenant au Cercle des Supérieurs créé par La Noble Famille d'Evans se doivent de pouvoir être également utilisés en diverses circonstances professionnelles. Nous exigeons de vous, de votre totale appartenance, les efforts nécessaires à pouvoir être utiles en toutes circonstances, y compris dans des situations professionnelles de haut niveau, si besoin.
Pour cela, vous vous devez d'atteindre l'excellence dans les matières qui ont été choisies pour vous par Les Maîtres dont vous êtes la propriété la plus absolue. Cela ne change rien à votre condition inférieure, mais constitue une utilité supplémentaire aux services que vous êtes en devoir de rendre en permanence aux Supérieurs. Aussi, nous ne saurions admettre la médiocrité dans vos résultats universitaires. Non seulement vous devez obtenir vos diplômes, mais vous devez les obtenir brillamment. En aucun cas pour flatter un quelconque ego dont vous êtes naturellement dénués, mais afin de satisfaire Les Maîtres ou Maîtresses qui ont jugé utile que vous soyez ainsi dressés. En cas d'échec, vous n'auriez plus aucun intérêt et seriez immédiatement et définitivement rejetés du Cercle. Une dernière chose, sachez que l'an prochain il sera exigé de vous tous un effort supplémentaire. Vous ne serez autorisés à poursuivre vos études que si vous obtenez une moyenne générale au moins de 14, tous ceux dont les notes seront inférieures à 14 seront exclus de cette université et confiés à des Dominants n'appartenant pas au Cercle des Supérieurs. Vous poursuivrez ainsi votre destin d'esclaves au niveau inférieur sans espoir d'accéder à nouveau à la servitude absolue que vous avez l'honneur et la chance de connaître...

Le Maître des études se tut et revint vers la file d'esclaves, s'arrêtant devant chacune et chacun, passant Sa Main sur les corps, et ordonnant à tous de se déshabiller intégralement, dans un claquement de doigts strict et sans appel. Ainsi les huit esclaves, femelles et mâles se tenaient maintenant nus, les bras le long du corps, la tête et les yeux baissés. Le Maitre des études tournait autour de cette file de corps nus et palpait une croupe, faisait aller et venir Sa badine entre les cuisses... Il savourait ainsi la totale servilité de ces esclaves qui Lui avaient été confiés afin d'en faire de parfaits instruments, totalement asservis à la Volonté de Celles et Ceux qui en étaient les légitimes Propriétaires.
Puis il vint et se plaça devant Joëlle... Il l’observa attentivement de la tête aux pieds et passait alors Sa Main entre les cuisses de la jeune femelle, toujours prête à combler les attentes des Maîtres...

- chienne Joëlle, belle esclave… Monsieur Le Marquis d'Evans peut être satisfait de Sa jolie catin, tu as obtenu une moyenne générale de 18 et naturellement tu es admise en classe supérieure dans cette université…

Il venait de retirer Sa Main de l'intimité de la femelle et lui fit lécher ses doigts poisseux de mouille.

- A l'issue de cette remise de notes, tu resteras dans ce bureau, Monsieur Le Marquis a eu l'extrême bonté de te confier à moi jusqu'à la fin de la journée. Ma queue saura t'accorder toute l'attention que méritent tes orifices d'esclave. Et nous ne manquerons pas de les honorer tous, afin de saluer dignement ce joli résultat. Maintenant mets-toi à genoux et attends, pendant que j'en termine avec les autres...

Le Maître des études passa ainsi de l'une à l'autre, annonçant les résultats depuis les plus brillants jusqu'aux moyens... toutes et tous avaient obtenu d'excellents résultats et une fois leur certificat reçu, ils se rhabillaient et étaient autorisés à sortir afin d'aller présenter cela aux Supérieurs dont ils étaient dépendants. Seule restait Joëlle, toujours agenouillée, nue et moi, qui attendait en silence n’ayant pas encore eu mon résultat, ayant donc compris que ma position signifiait que j'avais obtenu un résultat inférieur à celui des sept autres… Un cinglant coup de badine sur le cul vint me confirmer cette évidente supposition. Le Maître des études saisit soudain ma nuque d'une main ferme et me força à me pencher avec le haut du corps sur son bureau. Mon torse nu plaqué sur le plateau du bureau, le cul bien présenté et les jambes écartées le plus possible… Sans un mot, il commença à cingler mon fessier et le haut de mes cuisses. Je me crispais pour ne pas crier tant la brûlure était vive. J’avais très mal, d’une douleur subite et cuisante. Et je sentais paradoxalement ma verge essayant de se durcir d’excitation mais elle était trop comprimée dans ma cage de chasteté pour pouvoir se dresser … Les coups pleuvaient jusqu’au moment où saisissant mes cheveux, il me jeta à terre et continua à me frapper, marquant mon corps de fine mais cinglantes traces rouges. Lorsqu’il cessa enfin, je tremblais et me recroquevillai, mais très excité sexuellement sans pouvoir bander. Ne me laissant pas de répit, Il me força à m'agenouiller.

- Quelle médiocrité ! Voici donc le dernier, le plus méprisable de ce lot d'esclaves. Saches donc que tu es admis à passer en classe supérieure, mais avec des notes qui ne méritent aucune indulgence. Le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans a été naturellement informé dès hier soir de ce résultat et Il en est fort mécontent. Il aurait pu se débarrasser de toi et te confier à un Maître moins prestigieux, mais Il veut te faire progresser afin de ne pas remettre en cause tout Son travail déjà réalisé sur toi pour que tu réussisses tes examens. Crois-moi, tu ne vas pas manquer d'occasions de Lui démontrer que tu peux mériter de Lui appartenir. En attendant, je vais tout de même me détendre avant de m'occuper de cette esclave femelle qui attend d'être récompensée pour ses brillants résultats.

Me poussant à nouveau sur le bureau, et m’imposant la même position exhibée tantôt pour la flagellation, je l’entendis ensuite ouvrir juste sa braguette sans défaire son pantalon, et en sortir sa verge. Je compris qu’il utilisa la bouche de l’esclave Joëlle pour se faire bander, par les bruits des succions de la belle, qui avait l’air de se faire baiser la bouche avec avidité et sans ménagement. Quand il fut en forte érection, il vint juste derrière moi et il écarta mes cuisses et m'encula d'un coup sec et puissant, me pénétrant également sans ménagement et me baisant brutalement ainsi, à la hussarde et jusqu’à la garde, visant à s'enfoncer aussi profondément que possible dans mon fondement à chacun de ses forts coups de boutoir qui suivirent tout aussi puissamment dans une grande force de ses reins. Le Maître des études m’encula ainsi prenant possession de la petite créature que je suis, me coupant quasiment le souffle. Il venait et allait, me ramonait véritablement, jusqu’à qu’il planta profondément ses ongles dans mes hanches au moment où il lâcha sa semence par des râles de mâle en rut, tout en me crachant dans le dos et m’instant de milles insultes humiliantes… Lorsqu'Il eut terminé, il se retira, m’ordonna le lui nettoyer sa verge ramollie avec ma bouche de catin et m'ordonna ensuite de ma rhabiller et de rentrer, car il allait avoir fort à faire...

Sur le chemin du retour, je me hâtais non sans angoisse car je savais que j'allais devoir subir le courroux du Maître que je vénérai plus que tout au monde. Aussi compréhensif qu'Il puisse parfois Se montrer, le jeune Monsieur le Marquis Edouard d'Evans n'admettait pas la médiocrité, ni l'approximation. Malgré la façon dont Il avait dirigé mon année d'études, j'avais été plus que moyen, à peine passable, et cela ne mériterait aucune indulgence de sa part. Je savais donc que j'allais devoir payer le prix de mon incompétence mais plus que tout, j'avais très peur que le Maitre, trop déçu ne prenne la décision de me renvoyer …

(A suivre …)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!